L’annonce du Premier ministre Manuel Valls de fusionner l’Epadesa et Defacto qui réjouit Patrick Jarry, le maire de Nanterre (Divers gauche) satisfait également Jean-André Lasserre, l’opposant PS au conseil municipal de Courbevoie. Dans un communiqué le socialiste qui salue la décision du chef de gouvernement parlant « d’une bonne décision » s’interroge toutefois sur le financement de la nouvelle structure.
« Mais qui va payer ? s’interroge l’élu. Les Villes de Courbevoie et Puteaux (ndlr, où est implanté le quartier historique de La Défense) bénéficient depuis des décennies des recettes colossales générées par l’activité économique du quartier. Mais elles se sont toujours désintéressées des travaux d’entretien réguliers à réaliser » affirme t-il rappelant « l’urgence » de lancer des grands travaux de rénovation des sous-sols de La Défense chiffrés à 350 millions d’euros par la Cour des Comptes. « Somme sous-estimée » d’après Jean-André Lasserre pour qui la facture sera plus élevée, en raison des nombreux travaux non chiffrés à ce jour, comme le désamiantage, l’étanchéité de la dalle ou le réseau d’arrosage.
L’édile a par ailleurs demandé à ce que le nouvel établissement qui doit entrer en fonction le 1er janvier 2017 intègre les collectivités locales à l’échelle du territoire et pas uniquement les villes de Puteaux et Courbevoie. Car pour l’élu le quartier de La Défense « dispose d’un rayonnement qui va bien au-delà des seules communes limitrophes ». « En contrepartie bien sûr, les ressources du quartier devront être réparties entre chacune d’elles » précise t-il.
Par ailleurs l’opposant socialiste de Courbevoie souhaite que les associations de riverains, les usagers du quartier et les groupes d’opposition municipaux soient représentés dans les instances décisionnelles, pour « que la gouvernance du quartier d’affaires ne soit plus aux mains des seules majorités départementales et communales ».
Le quartier de La Défense depuis l'Arc de Triomphe en août 2016 - Defense-92.fr
Les collectivités locales vont enfin avoir la main sur l’aménagement et la gestion de La Défense. Le Conseil des ministres vient d’adopter le mercredi 3 août le projet de fusion de l’Epadesa et Defacto dont la nouvelle structure sera directement gérée par les collectivités locales.
Le texte de l’article 37, inclus dans le projet de loi relatif au statut de Paris et à l’aménagement métropolitain, habilite le gouvernement à légiférer par ordonnance pour la création d’un établissement public local, associant l’Etat, qui devient minoritaire, aux collectivités territoriales.
La nouvelle structure doit entrer en service le 1er janvier 2017
Le nouvel établissement qui doit théoriquement entrer en service le 1er janvier 2017 sera issu de la fusion de l’Epadesa (l’aménageur du quartier de La Défense Seine-Arche) et de Defacto (le gestionnaire de La Défense).
Cette nouvelle structure, dont on ignore encore le nom et son périmètre d’intervention exact, même s’il devrait reprendre l’ancien périmètre historique de l’Epad, sera désormais financé et géré par les collectivités locales. Si les villes de Puteaux, Courbevoie et Nanterre, le conseil départemental des Hauts-de-Seine, la métropole du Grand Paris et la région Ile-de-France seront majoritaires au conseil d’administration, l’Etat y sera cependant présent mais minoritairement avec un ou deux représentants.
La gouvernance de l’établissement est également pour l’heure inconnue, mais le député Patrick Devedjian (Les Républicains), l’actuel président de Defacto (et président des Hauts-de-Seine) pourrait en prendre la présidence.
Jean-Claude Gaillot a été nommé directeur de l'Epadesa - DR
Sa principale mission : fusionner l’Epadesa avec Defacto. Quelques jours après l’éviction d’Hugues Parant, l’Epadesa, l’aménageur de La Défense Seine-Arche vient de confirmer la nomination de Jean-Claude Gaillot comme nouveau directeur général.
Cet ingénieur des Ponts, des Eaux et des Forêts était jusque là le président du directoire de la SEM Energies Posit’IF, spécialisée dans la rénovation énergétique des copropriétés et de son financement en Ile-de-France, de 2013 à 2016. Il avait auparavant, et pendant quinze ans, occupé la fonction de directeur général adjoint à l’aménagement durable au conseil régional d’Ile-de-France. Chargé à ce titre des dossiers transports, aménagement et environnement, il a participé à l’élaboration du schéma directeur de la région Ile-de-France (Sdrif), du plan de mobilisation des transports, du Grand Paris Express et des contrats de projets. De 1991 à 1998, il a été secrétaire général adjoint du groupe central des villes nouvelles.
Le nouvel établissement entrera finalement en fonction au cours du premier trimestre 2017
Jean-Claude Gaillot devra au cours des prochains mois mener à bien le mariage avec Defacto, le gestionnaire de La Défense qui sera finalement scellé au cours du premier trimestre 2017. La fusion des deux établissements de La Défense intégrée à la loi sur la métropole du Grand Paris voulue par le Premier ministre Manuel Valls, doit être votée officiellement par le parlement d’ici la fin de l’année.
Une fois en service, la nouvelle structure sera alors dans les mains des collectivités locales (villes de Puteaux, Courbevoie et Nanterre, département des Hauts-de-Seine, région Ile-de-France, Grand Paris) qui auront pour charge d’en assurer la gestion et le financement. L’Etat restera cependant présent au sein du conseil d’administration du nouvel établissement qui devrait prendre le nom de Paris La Défense, mais de façon minoritaire.
La décision du départ précipité de l’ancien DG avait été prise récemment par Emanuelle Cosse la ministre du Logement, tutelle de l’aménageur. Officiellement arrivé à l’issue de sa mission de trois ans, il s’était vu reprocher selon Le Parisien, par le cabinet de la ministre « son manque d’empressement à fournir les documents ou informations réclamés dans le cadre de la procédure de fusion des deux établissements ».
Des brochures de Defacto et de l'Epadesa - Defense-92.fr
La fusion était programmée pour le 1er janvier dernier. Trois semaines après le passage à 2017, la fusion de l’Epadesa, l’établissement d’aménagement de La Défense Seine-Arche et de Defacto qui est en charge de la gestion et de l’animation du quartier est au « point mort » selon Marie-Célie Guillaume, la DG de Defacto qui s’est exprimée au journal Le Parisien.
Annoncée par l’ex-Premier ministre Manuel Valls, en octobre 2015 cette fusion a pour vocation de créer un établissement qui sera désormais en charge de l’aménagement et de la gestion du plus grand quartier d’affaires européen. Mais contrairement à ce que fût l’Epad avant sa scission en 2009, ce nouvel établissement ne devrait plus être sous le giron de l’Etat mais dans les mains des collectivités locales à savoir les villes de Courbevoie, Puteaux et Nanterre mais aussi le département des Hauts-de-Seine et la région Ile-de-France.
Mais aujourd’hui ce mariage est dans le brouillard. « Les collectivités locales et le département ont dit d’accord pour prendre en charge les investissements, mais ont demandé le pouvoir de décider », confie Marie-Célie Guillaume dans les colonnes du Parisien pour qui ce retard vient du ministère de l’Economie et des Finances. » Bercy fait de l’obstruction systématique, bien décidé à faire capoter la création du nouvel établissement » s’agace t-elle.
« Bercy veut percevoir une dîme »
Pour préparer ces fiançailles deux inspecteurs ont été missionnés depuis neuf mois, précise le Parisien. Mais pour Marie-Célie Guillaume « Ces évaluations ne sont pas sérieuses et ne résistent pas à l’examen ». La DG du gestionnaire de La Défense ne cache pas sa crainte de perdre avec cette fusion : « Bercy veut percevoir une dîme ».
Et la directrice ne cache pas ses inquiétudes quant à ce retard. Si ses craintes se concrétisent et que le nouveau Premier ministre Bernard Cazeneuve ne prend pas rapidement l’ordonnance fixant les conditions du transfert et les statuts du nouvel établissement public la situation pourrait être gelée jusqu’à l’été prochain après les élections présidentielles et les législatives. Cela se traduirait par la mise en pause de travaux d’entretien alors que cette fusion a justement pour objectif d’améliorer les équipements du quartier dont la très coûteuse dalle et ses souterrains. Des travaux de modernisation indispensables pour l’attrait du quartier qui sont chiffrés selon Patrick Devedjian, le président de Defacto et des Hauts-de-Seine à plus de 500 millions d’euros.
L'ensemble Coeur Défense en août 2016 - Defense-92.fr
La rumeur circulait depuis un petit moment déjà. Alors que la fusion entre Defacto, l’établissement de gestion de La Défense et l’Epadesa, l’aménageur du quartier a pris du retard et se fait toujours attendre, en coulisse tout se prépare et notamment l’emplacement du siège qui accueillera la nouvelle structure. Defacto vient de signer dernièrement un bail de 1 600 mètres carrés dans l’ensemble Coeur Défense au sein de la tour B. De son côté l’Epadesa a reçu un avis de principe favorable de ses instances représentatives du personnel pour déménager également dans le plus grand immeuble de bureaux d’Europe.
Dans une interview donnée au site Immoweek, Jean-Claude Gaillot le DG de l’aménageur de La Défense Seine-Arche explique que son établissement pourrait prendre « un plateau voir un demi supplémentaire » dans Coeur Défense. Pour Jean-Claude Gaillot le besoin pour l’Epadesa « serait supérieur à 3 000 mètres carrés » et le directeur confie avoir déjà des idées d’aménagement « Nous mandaterons des spécialistes le moment venu, mais souhaitons une organisation mixte et moderne : bureaux en open-space avec des espaces privatifs et de travail collaboratif ».
Un showroom au douzième étage de la tour B
Jean-Claude Gaillot confie en outre au site spécialisé dans l’immobilier français qu’il est en discussions avec Heart Of La Défense, le propriétaire de Coeur Défense pour prendre également à bail un showroom situé au 12ème étage de la tour B. « [Cela] permettrait de présenter tout notre savoir-faire commun entre l’Epadesa et Defacto, mais aussi de présenter la maquette de notre quartier, que nous comptons bien moderniser également » poursuit le DG.
Si Defacto va entièrement quitter d’ici la fin de l’année la tour Manhattan, l’Epadesa souhaite conserver un « pied à terre » pour ses équipes qui travaillent sur le secteur Seine-Arche dans son immeuble Via Verde de Nanterre qui abrite son siège depuis 2012.
Concernant la transaction de Defacto dans Coeur Défense, Cushman & Wakefield, était le conseil à la fois de l’établissement en charge de la gestion de La Défense, et du propriétaire. Le cabinet Jones Day conseillait le propriétaire, avec Erwan Le Douce Bercot, associé, et Flavia Poujade. Le cabinet Latournerie Wolfrom et associés, avec Laurent de la Brosse, associé, et Claire Decoux Laroudie, conseillaient Defacto.
L'entrée aux centre commercial des 4 Temps par la porte de Puteaux dans le quartier Boieldieu va être fermé jusqu'au 20 août prochain - Defense-92.fr
L’accès au centre commercial des 4 Temps va s’avérer un peu compliqué en ce mois d’août si vous venez du quartier Boieldieu. Defacto, le gestionnaire de La Défense qui mène depuis plusieurs mois déjà, les travaux de rénovation des Terrasses Boieldieu va fermer temporairement l’un des accès principaux aux 4 Temps.
La « porte Puteaux » du premier niveau du centre commercial sera fermée du lundi 31 juillet au dimanche 20 août inclus afin de permettre des travaux de rénovation de l’éclairage. Le passage restera cependant toujours possible via la porte supérieure dont l’accès se fera par les ascenseurs qui desservent le Parking Wilson (en montant vers le niveau supérieur – niveau 2) ou par l’escalier qui accède au belvédère.
L’accès principal aux 4 Temps sera réouvert dès le lundi 21 août, avec un cheminement réduit (les travaux se poursuivant jusqu’au 28 août). L’escalier menant au belvédère et donc à l’entrée supérieure du centre sera de nouveau fermé jusqu’à sa remise en état complète dans les prochains mois.
À noter que la passerelle provisoire côté Tour Franklin qui permet de contourner les 4 Temps pour rejoindre le parvis de La Défense restera en service jusqu’à la mise en place de la nouvelle passerelle définitive.
Le quartier de La Défense en juin 2017 - Defense-92.fr
Une nouvelle étape a été franchie dans la création du nouvel établissement pour le quartier de La Défense. Les sénateurs ont approuvé ce jeudi 20 juillet en première lecture le projet de fusion des établissements publics d’aménagement (Epadesa) et de gestion (Defacto) de La Défense. La nouvelle structure baptisée « Paris La Défense » doit voir le jour au début de l’année 2018.
Le projet de loi a été adopté par 186 voix pour (Républicains et centristes) et 34 contre, les communistes et les membres du RDSE (à majorité PRG). Les sénateurs En Marche et socialistes se sont abstenus.
Ce nouvel établissement devrait avoir comme périmètre d’action le cœur historique du quartier d’affaires (implanté majoritairement sur les villes de Courbevoie et Puteaux mais aussi Nanterre) autrefois dans le giron de l’Epad, avant sa fusion avec l’Epasa en 2010.
Un amendement voté qui inquiète le maire de Nanterre
Sauf qu’un amendement visant à étendre le périmètre exclusif du futur établissement public au territoire de Nanterre sur les ZAC Seine-Arche et à la ZAC des Groues, présenté par le sénateur Mathieu Darnaud (Les Républicains), rapporteur de la commission des lois, a été voté, ce qui agace fortement le maire Divers-gauche de Nanterre, Patrick Jarry. L’édile s’est insurgé contre cette possibilité dans un communiqué dénonçant une volonté de faire de la ZAC des Groues, actuellement en réaménagement, une « arrière-cour » de La Défense. Car pour Patrick Jarry, l’ordonnance prise en mai dernier par l’ancien gouvernement permet au futur établissement Paris La Défense d’intervenir dans sa ville mais sans exclusivité.
« Le gouvernement souhaite préserver les équilibres de l’ordonnance (prise en mai dernier par l’ancien gouvernement, ndlr) qui ont résulté de très longues discussions entre l’Etat et le département », a déclaré Jacques Mézard, le ministre de la Cohésion des territoires devant les sénateurs en rassurant (sans le citer) le maire de Nanterre. « Ce périmètre sera délimité par décret en Conseil d’Etat après avis des communes (concernées) ». La compétence de gestion de Paris La Défense sera « tout ou partie » celle du périmètre d’aménagement du nouvel établissement a précisé le ministre qui a promis de revenir sur l’amendement du sénateur Mathieu Darnaud. « Je proposerai à la haute assemblée un amendement visant à revenir à la rédaction antérieure quant au périmètre d’intervention » a-t-il promis.
Une gestion confiée aux collectivités locales
La gestion de Paris La Défense sera elle désormais confiée aux collectivités locales où le département des Hauts-de-Seine, majoritaire, sera entouré des communes de Courbevoie, Puteaux, Nanterre et Paris, de la région Ile-de-France, de la Métropole du Grand Paris. L’Etat jusque-là majoritaire à l’Epadesa (et auparavant à l’Epad) deviendra minoritaire et sera représenté par l’intermédiaire du préfet de région, a expliqué Jacques Mézard. « L’Etat restera présent dans le futur établissement dans le but de veiller au bon fonctionnement du service publique dont l’établissement aura la charge » a-t-il poursuivi dans sa déclaration. De son côté le sénateur communiste Christian Favier a dénoncé l’absence programmée de membre de l’opposition en représentation du département.
En ce qui concerne le patrimoine du futur établissement, les biens actuels de l’Epadesa et de Defacto seront transférés « à titre gratuit », détaille Jacques Mézard qui précise que les parcs de stationnement (actuellement dans le giron de Defacto qui les délègue à Indigo) appartenant à l’Epadesa seront de retour dans les mains de l’Etat qui les mettra à la disposition de Paris La Défense pour soixante ans.
Reste maintenant à l’Assemblée nationale à adopter à son tour le texte dans les prochaines semaines afin donner définitivement naissance à « Paris La Défense » le 1er janvier prochain après une année de retard sur le calendrier annoncé par Manuel Valls en 2015.
Le chantier du RER A en juillet 2015 - Defense-92.fr
Le trafic de la ligne la plus fréquentée d’Europe va être de nouveau partiellement interrompu pendant un mois. La RATP poursuit cet été pour la troisième année consécutive son vaste programme de renouvellement des voies sur le tronçon central du RER A. Comme l’année dernière le trafic des trains sera totalement interrompu entre les gares de La Défense et Nation du samedi 29 juillet au dimanche 27 août prochain.
Pendant cette longue fermeture la RATP va procéder à d’importants travaux sur les douze kilomètres de voies du tronçon central vieux d’une quarantaine d’années. D’ici à 2021 la régie des transports parisiens va investir 100 millions d’euros pour remplacer 24 kilomètres de voies et de ballasts ainsi que 27 appareils de voies (aiguillages).
Un chantier d’un mois fonctionnant 24h sur 24 et mobilisant 400 personnes
Pour cet été 2017 le chantier se concentrera entre La Défense et Chatelet les Halles. Durant ces quatre semaines de fermeture la RATP prévoit de renouveler 3,7 kilomètres de voies et quatre aiguillages ainsi que 45 000 mètres cubes de ballast (l’équivalent d’une douzaine de piscines olympiques) soit 1 300 tonnes de gravier et 720 traverses en béton à poser et autant à évacuer chaque jour.
Le chantier sera mené à bien par quelques 400 personnes qui se relayeront 24h sur 24 en trois huit. Pour les aider de nombreux engins de chantiers dont plusieurs “trains travaux” seront déployés par la RATP et les entreprises prestataires du chantier.
Plus d’un millier d’agents mobilisés pour venir en aide aux voyageurs
Pour absorber au mieux l’important report des milliers d’usagers de la ligne la plus fréquentée d’Europe la RATP a renforcé les lignes 1, 2, 3, 6, 9, 10, 13 et 14 du métro, les lignes T2 et T3a du tramway et les lignes de bus 63, 73, 114, 118 et 275. Par ailleurs un système de navettes fonctionne entre Charles de Gaulle Etoile et La Défense du lundi au vendredi de 7h30 à 10h30 et de 16h30 à 20h30 avec une fréquence de 6 à 10 minutes.
Durant tout ce mois de travaux plus d’un millier d’agents seront mobilisés chaque jour dans les gares concernées par cette fermeture afin d’informer et orienter les voyageurs. Une signalétique dédiée et des aménagements sont également mis en place dans la région.
De nombreux trajets alternatifs au RER A
Pour les usagers qui souhaitent rallier La Défense à Nation ou bien se rendre dans les gares de Charles de Gaulle Etoile, Châtelet ou Gare de Lyon, la solution la plus simple reste d’emprunter la ligne 1 du métro qui longe le RER A. Mais le report des voyageurs, devrait comme l’année dernière être très important. Pour se rendre à Auber, les usagers sont invités à utiliser depuis La Défense la ligne L du Transilien. Pour aller à Nation il y a également comme solution alternative à la ligne 1 du métro la 2 et la 6. Pour se rendre entre les gares de Val de Fontenay et Marne la Vallée Chessy (Disneyland Paris) il est possible d’aller jusqu’à Saint-Lazare avec la ligne L et de prendre le RER E afin de regagner le RER A à Val de Fontenay.
D’autres solutions de transport sont en outre proposées par la RATP et les taxis G7 comme en 2015 et 2016 avec des offres sur-mesure (une réduction de 15% sur toutes les courses « G7 Partagé » en utilisant le code « RER2017 »). Ces offres sont à retrouver sur le site internet de la RATP.
Les fermetures en longue durée se poursuivront pour la dernière fois à l’été 2018 avec une fermeture entre Charles de Gaulle et Nation. En 2019 et 2020 le trafic s’arrêtera sur une période de sept à neuf semaines, en semaine de 22h30 à 5 heures du matin entre les gares d’Auber et Vincennes. L’année 2021 marquera la fin de ce vaste programme avec là aussi des travaux de nuit cette fois-ci entre Charles de Gaulle et Nanterre Préfecture.
Pendant les travaux de rénovation du Starbucks des 4 Temps un Airstream propose une partie de la gamme de la marque - Defense-92.fr
Un mois pour changer de look. Depuis lundi dernier le Starbucks des 4 Temps, implanté au Dôme du centre commercial est fermé pour travaux. Jusqu’au 23 août prochain la chaine américaine née à Seattle rénove son salon ouvert le 26 avril 2006, (en même temps que le Dôme) un peu plus d’un mois après celui de Cœur Défense.
Ce Starbucks très prisé des clients des 4 Temps va ainsi subir une importante modernisation en offrant une nouvelle ambiance, plus moderne et proche du concept « Reserve Coffees » en cours de déploiement aux Etats-Unis. Ce concept permettra ainsi à Starbucks de proposer ses nouvelles boissons les « Nitro Cold Brew ». Autre grande nouveauté ce salon d’une centaine de mètres carrés sera doté dès l’automne d’une grande terrasse extérieure de 150 mètres carrés entièrement couverte. Au total un peu plus de 150 places assises équiperont ce Starbucks.
Un airstream en attendant la réouverture
Mais que les aficionados se rassurent. Durant toute la fermeture un Airstream (une sorte de caravane) Starbucks stationné à l’extérieur propose aux clients une carte réduite avec tous les produits phares de la marque à la sirène dont les Mocha, les Frappuccino, les Teavana ou encore les Refresha. Des pâtisseries sont également disponibles. Et pour tous ceux qui voudront retrouver la carte complète de Starbucks il leur sera toujours possible d’aller dans l’un des trois établissements du quartier : Cœur Défense, Faubourg de l’Arche ou celui de la gare de La Défense.
Le foodtruck Starbucks est ouvert tous les jours de 8 heures à 20 heures.
Aladdin sera projeté ce dimanche 30 juillet à l'UGC des 4 Temps - Disney
Alors que Disney a dévoilé il y a quelques jours à l’occasion de la « D23 » le casting de l’adaptation en film d’Aladdin qui doit sortir au cinéma en 2018, l’UGC des 4 Temps projettera ce dimanche 30 juillet le dessin animé mythique. Le multiplexe proposera à l’occasion de sa « Petite séance » de voir ou revoir Aladdin, sorti en novembre 1993. La séance qui se fera en VF à 10 heures sera l’occasion de retrouver Aladdin, le jeune orphelin vivant dans un souk d’Agrabah qui va tomber amoureux de la belle Jasmine, princesse et fille unique du sultan. Pour la conquérir il va se faire aider de son ami de toujours, le petit singe Abu et surtout du Génie bleu de la lampe. Mais il va devoir affronter le grand et machiavélique vizir Jafar et son perroquet Iago
Les places sont vendues au tarif unique de 5 euros (plus 1 euro par internet).
Au programme pour les prochains dimanches : Les Aristochats le 6 août, Lilo & Stitch le 13 août, La Petite Sirène le 20 août, Mulan le 27 août et Monstres Academy le 3 septembre.
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