La nouvelle enseigne technipFMC au sommet de la tour Adria a été posée fin juin - Defense-92.fr
Une nouvelle enseigne géante trône désormais au sommet de la tour Adria. Le groupe français Technip qui a fusionné en début d’année avec son rival américain FMC Technologies désormais rebaptisé TechnipFMC vient de changer l’enseigne de sa tour de La Défense.
Avec des dimensions de 22 mètres de long sur un peu moins de deux de haut, l’enseigne « TechnipFMC » aux lettres blanches utilise la technologie de Led basse tension pour une consommation d’environ 530 watt. Son éclairage fonctionne tous les jours de la tombée de la nuit jusqu’à 1 heure du matin et de 6 heures du matin au lever du soleil, conformément à la réglementation en vigueur, précise TechnipFMC.
Sa conception, et sa pose réalisée en trois jours après le retrait de l’ancienne qui s’est fait en une dizaine de jours, ont été assurés par le spécialiste du secteur Actif Signal. Le fabricant d’enseignes lumineuses a, ces dernières années, signé de nombreuses réalisations dans le quartier d’affaires avec notamment des poses d’enseignes pour Thales sur la tour Carpe Diem, Allianz sur Athena et Neptune, KPMG sur Eqho, EDF sur PB6, Enedis sur Blanche ou encore Elior sur Egée.
Valérie Pécresse et Patrick Devedjian ont lancé ce lundi avec le concepteur de Navya, le DG de Keolis et la DG de Defacto le service de navettes autonomes de La Défense - Defense-92.fr
Si les défensiens peuvent monter à bord des navettes autonomes depuis jeudi dernier, elles n’ont été officiellement inaugurées que ce lundi matin. La présidente de la région Île-de-France et d’Île-de-France Mobilités (ex Stif), Valérie Pécresse (les Républicains) a inauguré ce nouveau service qui va être testé jusqu’à la fin de l’année à La Défense au travers de trois lignes gratuites.
« La Défense c’est un univers extrêmement complexe et c’est aussi une terre d’expérimentation » explique la présidente de la région qui parle d’un univers « complexe » du fait de la part importante de flux de piétons et de vélos. « Voir la navette s’adapter, c’est l’occasion de mesurer toutes ses qualités et ses défauts » poursuit-elle.
D’un coût de 350 000 euros l’expérimentation pourrait donner par la suite la naissance à la création de lignes pérennes à La Défense mais aussi dans la région où sa présidente estime le potentiel « immense ».
Et pour son homologue, Patrick Devedjian (LR), le président des Hauts-de-Seine et Defacto une ligne entre l’Arche et la U Aréna aurait tout son intérêt. « Quand il y aura une manifestation à l’Arena et que les gens utilisent les parkings (ceux du Centre – Grande Arche et des 4 Temps, ndlr) le lien entre les deux aura tout son intérêt » explique l’homme fort du département qui rajoute : « l’intérêt sera de voir quelle est la demande d’itinéraire auxquels aspirent les usagers ».
Une rame TFS du tramway T2 quittant la gare de Puteaux en direction de celle de La Défense en 1997 - Jean-Henri Manara
Le T2 souffle ses vingt bougies alors qu’une partie de la ligne est actuellement fermée pour travaux. Il y a vingt ans, un 1er juillet 1997, la Ratp inaugurait la seconde ligne du tramway d’Ile-de-France quelques années après la première en Seine-Saint-Denis marquant ainsi le retour de ce mode de transports disparu après la seconde guerre mondiale.
L’histoire débute le 1er mai 1889 avec l’inauguration par la Sncf de la ligne Les Moulineaux ouverte juste à temps pour l’Exposition Universelle de 1889. La ligne longeant la Seine relie alors les gares de Puteaux au Champ de Mars à Paris, au pied de l’œuvre phare de l’Exposition, la Tour Eiffel, avant de voir son terminus ramené à Issy-Plaine avec sept arrêts intermédiaires.
Mais cent ans plus tard la ligne à bout de souffle manque cruellement d’investissements et les voyageurs se font de plus en plus rares. La Sncf ne croit plus en cette ligne et la ferme définitivement le 21 mai 1993 un peu plus de cent ans après son ouverture.
Si l’entreprise ferroviaire décide de s’en séparer la ligne ne va pas subir le même sort que la Petite Ceinture et une modernisation est inscrite au contrat de plan État-Région pour la transformer en tramway. Le schéma de principe est pris en considération par le Syndicat des transports parisiens le 23 octobre 1991. Le syndicat, conformément à ses statuts, décide donc cette année là de la transformer en ligne de tramway en vue d’en retirer l’exploitation à la Sncf pour la confier à la Ratp qui a l’expérience de la ligne T1. Dans le régime domanial qui est alors celui en vigueur, la Sncf (contrairement à RFF puis Sncf Réseau à compter de 2015) n’est que l’affectataire de la plateforme dont le propriétaire est l’État. La concertation préalable à la déclaration d’utilité publique se déroule en décembre 1991 et janvier 1992, et cette dernière est prononcée le 18 mars 1993 pour une mise en service prévue en 1996.
Un premier blocage à cause de l’ancien maire de Puteaux, Charles Ceccaldi-Raynaud
Les travaux sont lancés quelques mois après la fermeture de l’ancienne ligne Les Moulineaux en septembre 1993. L’année qui suit, Charles Ceccaldi-Raynaud, le maire RPR de Puteaux entame un recours contre la déclaration d’utilité publique, exigeant des aménagements pour sa commune en raison des nuisances qu’apporterait, selon lui, la nouvelle ligne de tramway. Si les travaux se poursuivent à bon rythme entre Puteaux et Issy ils sont stoppés à cause du conflit au nord de la ligne qui doit être prolongée vers la gare de La Défense en utilisant l’un des quais Sncf de la gare.
A l’issue de nombreux mois de procédure, le Tribunal administratif rejette le recours de l’édile, considérant les demandes du maire infondées en raison du caractère peu bruyant du tramway. Cette opposition aura tout de même entrainé un important retard de dix-huit mois de la mise en service de la ligne.
Le coût du projet est chiffré à 94,52 millions d’euros, auxquels il faut ajouter 41,47 millions d’euros pour les seize rames Tramway Français Standard (TFS), identiques à celle de la T1. La ligne relie désormais La Défense à Issy-Val-de-Seine avec au total treize stations entièrement réaménagées et adaptée pour les PMR.
Une mise en service de la ligne en 1997 pour accompagner les JMJ
C’est donc avec plus d’un an de retard que la ligne désormais exploitée par la Ratp est inaugurée. Elle est mise en service le 2 juillet 1997, le lendemain de son inauguration à l’occasion des Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) se tenant du 19 au 24 août dans la capitale.
Très rapidement la ligne offre une renaissance à cet axe et sa fréquentation ne cesse de progresser passant de 3,1 millions de voyageurs pour sa demi-première année d’exploitation à 19,9 millions de voyageurs en 2006.
Depuis la ligne qui transporte quotidiennement 220 000 voyageurs par jour a évolué à de multiples reprises. Très rapidement après son ouverture pour faire face à la croissance des usagers les quais sont doublés. Ne pouvant pas coupler les rames TFS, la Ratp décide de les remplacer par des Citadis 302. Et c’est encore une fois à Puteaux que la mise en place des double-rames va coincer. Si toutes les stations de la ligne sont adaptées, la nouvelle maire, Joëlle Ceccaldi-Raynaud (UMP), opère un blocage pour la mise en service d’un nouvel escalier et d’un ascenseur à la gare de La Défense. C’est finalement le 5 septembre 2005 que le doublement des rames est effectif.
Un prolongement vers le sud en 2009 et vers le nord en 2012
La ligne va une première fois être prolongée de 2,3 kilomètres avec quatre nouvelles stations le 21 novembre 2009 vers la Porte de Versailles. Puis trois ans plus tard, le 19 novembre 2012 la ligne file vers le nord au Pont de Bezons avec la création de sept nouvelles stations. La ligne T2 qui pourrait dans l’avenir s’étendre vers Sartrouville est désormais longue de 17,9 kilomètres et totalise 24 points d’arrêt dont des deux terminus. Il faut compter en moyenne 45 minutes pour relier les deux extrémités de la ligne.
Le film Inception sera projeté ce jeudi 6 juillet à l'UGC des 4 Temps - DR
Sorti en 2010, Inception, le film de Christopher Nolan est devenu en seulement quelques mois un film de référence pour les amateurs de science-fiction. Les fans d’Inception, qui met à l’affiche Leonardo DiCaprio, Marion Cotillard, Ellen Page, Cillian Murphy et Michael Caine, pourront profiter d’une nouvelle projection ce jeudi 6 juillet à l’UGC des 4 Temps pour re-découvrir sur grand écran de long métrage de 2h27 min. Le multiplex va projeter à 20 heures le film en VOSTF dans le cadre de sa « Séance culte ».
Les places sont vendues au tarif normal. Les réservations par internet se font par ici.
Sogeprom entend bien faire de son nouveau siège la vitrine de son savoir-faire. Le septième promoteur français, filiale de la Société-Générale a inauguré le 27 juin dernier Ampère e+, son nouveau siège social dans lequel il est installé depuis le début de l’année.
La rénovation de cet immeuble des années 80 situé du côté de Courbevoie en bordure du boulevard circulaire dans le quartier Henri-Regnault a été confiée à l’architecte Jean Mas, du cabinet Ateliers 2/3/4/. Le bâtiment qui développe 15 000 mètres carrés répartis sur dix niveaux a été entièrement métamorphosé à l’issue de deux années de travaux. La façade a été entièrement démontée, pour être remplacée par une enveloppe vitrée de 800 mètres carrés qui laisse passer la lumière naturelle et chose rare à La Défense, permet d’ouvrir des ouvrants en forme de meurtrière comme dans la tour Majunga.
Installé depuis le 16 janvier dernier, les 180 collaborateurs du siège de Sogeprom étaient jusqu’alors domiciliés dans l’immeuble Ile-de-France. L’entreprise s’est établie sur 3 150 mètres dans les étages hauts du bâtiment avec les huitième et neuvième niveaux ainsi que la moitié du septième. Le promoteur partage ce septième niveau avec la Direction des Affaires Immobilière (DAI) de la banque qui a elle installé ses 200 salariés. En plus de l’aile B du septième niveau, la DAI occupe le cinquième et sixième étage du bâtiment soit également 3 150 mètres carrés.
Un smartphone couteau suisse faisant office de badge et de gestion de la domotique
Le déménagement a été l’occasion pour Sogeprom de montrer tout son savoir-faire. Pour ses collaborateurs Sogeprom a opté pour de l’open-space pour tout le monde, même pour la direction, mais pas de Flex office. La DAI a elle en revanche choisi une solution plutôt classique mêlant open-space et bureaux cloisonnés. L’aménagement des espaces de travail de Sogeprom et de la DAI ont été confiés à l’agence Archimage.
Finis également les traditionnels téléphones fixes qui ont été remplacés par les téléphones portables. Tous les salariés de Sogeprom se sont vus confier un smpartphone véritable couteau suisse qui permet de gérer via une application la climatisation, la lumière, les stores mais qui fait office de badge et de porte-monnaie électronique pour le restaurant de l’immeuble.
Un immeuble qui a été complètement restructuré
L’édifice bénéficie en outre de plusieurs innovations technologiques et écologiques comme un système de purification d’air par bio-organismes, développé par la start-up BioOrg où il ferait aussi bon s’y reposer que dans une forêt, assure Pierre Sorel, le DG de Sogeprom pour qui « la qualité de l’air est absolument remarquable ». Les ascenseur « Otis ReGen » réduisent eux jusqu’à 75 % la consommation d’énergie des ascenseurs en récupérant l’énergie générée par les cabines en descente, le « B4B » (“Batterie For Building”) qui crée au sein de l’immeuble un réservoir d’énergie en réemployant d’anciennes batteries de voitures électriques ou encore le LiFi (Light Fidelity) qui permet une communication haut débit à internet par l’intermédiaire des ondes lumineuses des lampes du plafond.
L’immeuble qui dispose actuellement d’un peu plus de 6 600 mètres carrés de bureaux vacants est aujourd’hui la propriété de Primonial qui l’a acquis quelques mois après qu’il soit passé dans le giron de Sogeprom. Si le gestionnaire de patrimoine se refuse à commenter l’arrivée de futurs occupants il se dit « confiant » pour l’achèvement de la commercialisation de son immeuble avant la fin de l’année. Et d’après nos informations la Société Générale va s’étendre dans l’immeuble puisqu’il doit louer également le 1er et second niveau d’Ampère pour installer sa branche de gestion immobilière des agences bancaires.
Les logos des Hauts-de-Seine et des Yvelines - Defense-92.fr
La balle est maintenant dans le camp du gouvernement. Les conseillers départementaux des Hauts-de-Seine et des Yvelines ont voté vendredi dernier une demande de fusion de leurs deux collectivités qui ne pourra être validé qu’après l’accord du gouvernement.
« Pour nous, c’est la dernière étape. Le gouvernement est désormais interpellé. C’est la première fois dans l’histoire que deux départements demandent à fusionner », s’est félicité le président du conseil départemental des Hauts-de-Seine, Patrick Devedjian (LR), rapporte l’AFP. Le numéro 1 des Hauts-de-Seine s’est dit par ailleurs « très confiant » dans l’aboutissement du projet.
En attendant la réponse du gouvernement qui doit intervenir d’ici le 1er janvier 2018 les deux départements n’ont pas encore choisi leur nouveau nom de mariage, ni même l’implantation du siège. Patrick Devedjian s’est dit ouvert aux propositions pour l’emplacement du futur QG, « pas forcément à Nanterre » dit-il (où se trouve actuellement le Conseil départemental des Hauts-de-Seine) « mais pas à Versailles » (où est implanté le Conseil départemental des Yvelines), explique l’élu.
L'exposition sur l'histoire de La Défense sera visible jusqu'au 24 septembre prochain sur l'esplanade - Defense-92.fr
Si vous n’avez pas eu l’occasion de visiter l’exposition retraçant l’histoire de La Défense de 1883 à 1989 aux Archives départementales des Hauts-de-Seine qui s’est achevée le 30 juin vous allez pouvoir vous rattraper avec cette rétrospective. Jusqu’au 24 septembre prochain le département propose sur la dalle de La Défense au pied des tours Cœur Défense et Opus 12, face au bassin Agam une exposition hors-murs sur l’histoire du plus grand quartier d’affaires européen sous forme de photographies, d’images, de dessins ou de croquis grands formats. En tout, les passants peuvent découvrir librement et gratuitement 24heures sur 24, vingt images affichées sur cinq grands cubes noirs.
Chacun de ces cinq cubes a une thématique : « La Défense avant La Défense (19e siècle et première moitié du 20e siècle) », « Imaginer le quartier : différents projets d’architectes », « le Cnit », « la création du quartier : les premières réalisations dans années 1960 et 1970 » et « la tête Défense : les projets aboutissant à la construction de la Grande Arche ».
Une exposition sur la « Zone B » en septembre prochain
Au détour de l’exposition à ciel ouvert s’affichent entre autres les croquis de la tour Polak, de la Grande arche, du projet de Maisons-Tours ou encore de plusieurs visions futuristes du quartier. Plusieurs photographies dévoilent également la construction de bâtiments iconiques de La Défense comme le Cnit, la tour Nobel ou encore la Grande Arche.
Cette expo permettra de faire le lien avec la suivante qui sera lancée le 18 septembre prochain, toujours aux Archives départementales à Nanterre. Ce service du département créé en octobre 1968 s’intéressera cette fois-ci à la « Zone B » de Nanterre durant la période de 1950 à 1980. Cette zone qui avait pour vocation de devenir l’extension de La Défense a longtemps souffert de projets avortés. Jusqu’au 29 juin 2018 les visiteurs pourront gratuitement découvrir l’histoire et les différents projets réalisés ou non durant ces trente ans.
Le Pomme de Pain des 4 Temps bénéficie désormais du nouveau concept "La Maison du Sandwich" - Defense-92.fr
Changement radical chez Pomme de Pain. La chaîne spécialisée dans les sandwichs préparés à la commande a rouvert il y a une vingtaine de jours son établissement des 4 Temps installé en Clairière après plusieurs semaines de travaux.
Entièrement rénové l’établissement de la chaîne fondée en 1980, bénéficie désormais du nouveau concept « La Maison du Sandwich » mêlant des habillages de bois massif et une couleur « rouge terracotta ». La préparation des sandwichs se fait, elle, désormais à l’intérieur d’une verrière. Le célèbre logo avec la pomme de pin sous fond violet a cédé la place à un « Pomme de Pain » pris entre deux morceaux de baguette. Avec une surface commerciale de 180 mètres carrés, ce Pomme de Pain propose à ses clients 74 places assises.
Le déploiement du nouveau concept doit se poursuivre dans les prochaines années dans les autres établissements de la chaîne. Le restaurant du cours Michelet qui est en franchise devrait lui aussi rapidement bénéficier de ce changement. En revanche aucune rénovation n’a pour l’instant été planifiée pour le second Pomme de Pain des 4 Temps -plus petit sous forme d’un kiosque- qui est comme celui de la Clairière une succursale de la chaîne.
Le Pomme de Pain des 4 Temps mêle des habillages de bois massif et une couleur rouge terracotta – Defense-92.fr
La Belle au Bois Dormant sera projeté ce dimanche 2 juillet à l'UGC des 4 Temps - DR
C’est l’un des plus beaux dessins animés des studios Disney. L’UGC des 4 Temps projettera ce dimanche 2 juillet La Belle au Bois Dormant, dans le cadre de sa « Petite séance » destinée aux enfants. Ce chef d’œuvre, l’un des plus célèbres et surtout des plus beaux, signé des studios Disney, réalisé en 1959 par Wolfgang Reitherman, Eric Larson, Les Clark et Clyde Geronimi sera projeté à 10h15.
Les places sont vendues à 7,20 euros (plus 1 euros par internet) en tarif normal et 5 euros (plus 1 euros par internet) pour les moins de 14 ans.
Le pôle universitaire Léonard de Vinci - Defense-92.fr
Une certification pour l’Institut Léonard de Vinci. L’institut créé en 2002 rattaché au Pôle universitaire Léonard de Vinci qui regroupe les écoles EMLV, ESILV, IIM et la DEVSchool vient d’obtenir le certificat de respect du décret « Qualité » pour l’ensemble de ses formations. Cette certification lui permet ainsi d’être référencé dans la base unique des organismes de financement.
Entré en vigueur le 1er janvier dernier, le décret Qualité du 30 juin 2015 permet aux financeurs (OPCA, OPACIF, Pôle Emploi, Régions, Etat et Agefiph) de s’assurer de la capacité des organismes de formation à dispenser des actions de formation de qualité. Car dorénavant, toutes les actions de formation financées par des fonds paritaires ou publics doivent répondre à six critères de qualité fixés par le décret dont « L’identification précise des objectifs de la formation et de son adaptation au public formé », « L’adéquation des moyens pédagogiques techniques et d’encadrement de l’offre de formation » ou encore « La prise en compte des appréciations rendues par les stagiaires ».
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