Une défaite lors d’un jour de fête. Pour cette troisième journée de Betclic Elite, Bourg-en-Bresse a battu Nanterre 92, 86 à 61 (1er : QT 16–23, 2e QT 19-23, 3e QT 18-17 et 4e QT 8-23) ce samedi au Palais des Sports Maurice-Thorez de Nanterre.
Nos Nanterriens auront montré de belles choses ce soir malgré la défaite face à une @JLBourgBasket bien en place.
Cette rencontre de basket était surtout l’occasion pour le club de Nanterre, fondé en 1927, de célébrer son ancien entraîneur, Pascal Donnadieu, qui a cédé sa place après 37 ans de coaching à Philippe Da Silva.
Dans cette rencontre comptant pour la cinquième journée du Top 14, les Racingmen ont aligné trois essais (V. Habosi 15’, F. Kaitu’u 57’ et G. Fickou 64’), tous transformés (N. Le Garrec 15’, 57’ et 64’) ainsi que deux pénalités (N. Le Garrec 34’ et 71’). De leur côté, les vannetais, ont réussi trois essais (S. Rayasi 9’, C. Blanchard 40’ et T. Moukoro 79’), tous transformés (M. Lafage 9’, 40’ et 79’), mais aussi une pénalité (M. Lafage 23’).
Depuis le début de cette saison du Top 14, le Racing 92 a enregistré deux victoires pour trois défaites. La semaine prochaine, l’équipe des Hauts-de-Seine affrontera Toulon dans un match délocalisé au stade Dominique-Duvauchelle de Créteil. Pour réserver vos place c’est ici.
Call of Duty est de retour en ce mois d’octobre sur le plus vieux bâtiment du quartier d’affaires. Un an après sa dernière campagne, le célèbre jeu de tir à la première personne (FPS) revient sur le Westfield Cnit avec une publicité adhésive géante de 3 000 mètres carrés. Cette campagne hors norme, visible par les dizaines de milliers de passants qui arpentent quotidiennement le parvis de La Défense, accompagne la sortie, le 25 octobre prochain, du volet Call of Duty: Black Ops 6 sur consoles PS4 et PS5, Xbox One et Series, et sur ordinateur.
Depuis le lancement de ce support au milieu des années 2000, de nombreuses marques se sont succédé sur la façade du Westifled Cnit, dont Audi, Leffe, Seat, Volkswagen, Huawei, Gillette Labs, Nike, New Balance, la compagnie aérienne Vueling, le constructeur Toyota et dernièrement, Samsung à l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.
Bobs, serviettes, gobelets, casquettes… des centaines d’objets aux couleurs des Jeux Olympiques et Paralympiques seront à acquérir ce samedi à Nanterre, lors de la grande braderie de Paris 2024, organisée en marge de la Fête du commerce.
Un mois après la fin des Jeux Paralympiques, de nombreuses pièces textiles (uniformes des volontaires, du staff ou des officiels), des t-shirts (entre 5 et 10 euros), des gobelets (à un euro), des serviettes utilisées par les athlètes (25 euros), des éléments de décoration des sites, des drapeaux et même des produits des cérémonies seront mis en vente. Ces produits seront tous vendus entre 1 et 60 euros pour les objets les plus exceptionnels. « Ces souvenirs seront vendus en l’état et sont destinés à un usage personnel, sans vocation commerciale ou financière de revente », précise Paris 2024.
Cette braderie des Jeux se tiendra de 10 heures à 18 heures dans le parc des Anciennes-Mairies à Nanterre (ouverture du parc à 9h30). Et attention, comme pour les précédentes éditions, dont celle de Saint-Denis, il risque d’y avoir foule. Mieux vaut venir très tôt pour ne pas repartir bredouille.
Pour cette nouvelle ascension, réalisée sans la moindre autorisation et sans aucune protection, le grimpeur âgé de 23 ans a mis vingt-trois minutes pour venir à bout des quelque 115 mètres de cette façade de verre et d’acier. Comme pour toutes ses escalades, Titouan Leduc n’a pu compter que sur la force de son corps, des straps au bout des doigts, et de la magnésie pour réduire la transpiration. « Ce n’était pas facile, c’est une escalade assez technique. Les premiers mètres étaient difficiles, mais ensuite, ça s’est très bien passé. C’était super agréable. J’ai vraiment pris du plaisir à la fin », a confié le sportif à l’issue de son ascension.
À La Défense, Titouan Leduc affiche à son palmarès la Liberty Tower, les tours Ariane (escaladées en janvier 2021), Engie (en février 2022) et TotalEnergies (en avril de la même année). Depuis le début de l’année, de nombreuses ascensions ont été réalisées, notamment celles de Léo Urban sur Opus 12, Alexis Landot sur Opus 12 et TotalEnergies (Coupole), en plus de Franklin.
À vos CV ! Dans la lignée de leur programme « URW for Jobs » déployé dans tous les centres de shopping du groupe Unibail-Rodamco-Westfield (URW), les deux centres Westfield du quartier d’affaires organiseront le mardi 8 octobre, entre 10 heures et 17 heures, une nouvelle édition de leur job dating.
En partenariat avec l’agence France Travail (ex-Pôle Emploi) de Puteaux et la ville de Puteaux, les chercheurs d’emploi auront la possibilité de découvrir des employeurs et leurs secteurs d’activité, de postuler à des offres d’emploi et de passer des entretiens d’embauche.
Pour cette édition, un millier de postes (en CDI et CDD, à temps plein ou temps partiel) seront à pourvoir dans une trentaine d’enseignes du Westfield Les 4 Temps et Westfield Cnit comme Apple, Aroma-Zone, La Tête Dans Les Nuages, Auchan, Burger King, Intersport, Sephora, Quick, Paul, Promod, Starbucks, Stradivarius, Hollister, Zara, LCL, Le Chocolat Alain Ducasse, mais aussi à la SNCF, la RATP ou encore l’Armée de terre.
Pour participer à ce job dating, il n’est pas nécessaire de s’inscrire. Il suffit de se rendre à la clairière du Westfield Les 4 Temps avec un CV. La liste des enseignes participantes et les types de postes disponibles sont à retrouver ici.
Une légende du rock français dans la plus grande salle de spectacle d’Europe. Jean-Louis Aubert va célébrer ses cinquante ans de carrière à la Paris La Défense Arena avec un énorme show le 13 décembre 2025. « J’ai hâte de découvrir cette salle, et encore plus hâte de vous y voir », a confié l’artiste sur Instagram.
Jean-Louis Aubert, déjà 69 ans, est l’une des figures emblématiques du rock en France. Il fait ses débuts au milieu des années 1970 en cofondant le groupe légendaire Téléphone, aux côtés de Louis Bertignac, Richard Kolinka et Corine Marienneau. Le groupe devient rapidement un pilier de la scène rock française, avec des titres inoubliables comme « La Bombe Humaine », « Cendrillon » ou encore « Un autre monde ». Le style énergique et engagé de Téléphone marque toute une génération.
En 1986, après dix ans de succès, Téléphone se sépare, et Jean-Louis Aubert se lance dans une carrière solo. Il réussit à s’imposer avec des albums comme « H » (1993) ou « Idéal Standard » (2005), où il explore des sonorités plus personnelles et poétiques, tout en conservant l’énergie rock qui a fait sa renommée. Ses textes profonds et sa voix unique séduisent un large public, lui assurant une place de choix dans le paysage musical français.
Plus qu’un simple rockeur, Jean-Louis Aubert est un artiste complet, capable de mélanger ballades acoustiques et morceaux puissants, tout en gardant une sensibilité et un engagement qui transparaissent dans ses paroles. Aujourd’hui, avec un demi-siècle de carrière, il reste une figure incontournable et respectée du rock français.
En plus de cet énorme concert, Jean-Louis Aubert a dévoilé il y a quelques semaines sa nouvelle tournée marathon, « le Pafinitour ». Cette série de vingt-deux concerts à travers la France débutera à Aix-en-Provence en février 2025 avant de s’achever le 9 avril au Zénith de Paris.
Les billets pour cette date parisienne à la Paris La Défense Arena sont vendus entre 49 euros et 105 euros, selon les différentes catégories. Pour réserver vos places, c’est ici.
Amateurs de bonnes affaires, dimanche c’est le vide-greniers au Faubourg de l’Arche. Ce dimanche 6 octobre, entre 8 heures et 18 heures va se tenir la dix-neuvième édition de la brocante du Faubourg de l’Arche, dans les rues du quartier de Courbevoie, au pied des tours de La Défense.
Cet événement, désormais bien ancré dans la tradition locale, réunit principalement des vendeurs du quartier, mais attire également des chineurs venus de toute la région. Organisée par l’association Passé-Présent, la braderie accueillera environ 250 exposants.
Les stands s’installeront autour du parc du Millénaire, sur la rue des Lilas d’Espagne et les allées Véronèse, Botticelli et des Tilleuls, proches de l’avenue Léonard de Vinci.
Et attention, la manifestation va donc entraîner des modifications de circulation et des interdictions de stationnement dans le secteur durant toute la journée.
Ouverte en 1986 dans un secteur de La Défense en plein réaménagement, l’école André Malraux verra passer ses derniers élèves l’année prochaine. À l’aube d’un vaste réaménagement, le nouveau quartier Diderot à Courbevoie n’aura finalement pas d’école primaire.
Alors que la mairie ambitionnait de reconstruire l’établissement scolaire André Malraux et ses onze classes pour 300 élèves, afin d’accompagner la métamorphose du quartier, tout en le déplaçant provisoirement sur l’avenue Gambetta le temps des travaux, les plans ont totalement changé. Si la rumeur circulait depuis quelques semaines, Jacques Kossowski (LR), le maire de Courbevoie, a confirmé l’abandon du projet de reconstruction de l’école et même sa fermeture définitive pour la fin de l’année scolaire, à l’été 2025.
Pour justifier cette fermeture, l’édile évoque une baisse drastique du nombre d’élèves dans la ville qu’il dirige depuis 1995. « En six ans, nous avons perdu un millier d’élèves et quarante classes. Nous avons estimé qu’il était préférable de regrouper tous les élèves dans d’autres écoles pour les protéger des fermetures », s’est défendu Jacques Kossowski lors d’une réunion à distance, mettant en avant la fuite de nombreux Franciliens depuis la pandémie de Covid-19.
Des arguments qui ne semblent pas convaincre les parents d’élèves, le corps enseignant et son opposante, Aurélie Taquilain (Renaissance), qui parle de « fermeture soudaine prise sans concertation ». Elle estime que le maire « navigue à vue » et « manque cruellement d’anticipation ». Pour la conseillère municipale, le maire fait une économie de 15 millions d’euros « sur le dos des enfants et des familles » et estime même qu’il « paupérise le quartier ».
Les premiers concernés, c’est-à-dire les parents, n’ont franchement pas bien accueilli cette décision. « Je suis contre cette fermeture. C’est une école proche de mon domicile », lâche Abdel, père de trois jeunes enfants. Si cet habitant admet la baisse du nombre d’élèves, il estime que cette fermeture est une vision à court terme.
Une enseignante qui souhaite rester anonyme ne cache pas non plus sa tristesse de voir son école disparaître. « Nous sommes contre cette fermeture. Nous sommes une équipe soudée de onze enseignants », confie-t-elle. « Nous demandons le maintien du projet tel qu’il a été conçu initialement, avec le maintien de l’école », plaide pour sa part Franck, du collectif Audran-Diderot.
À l’issue de la fermeture, le corps enseignant sera réaffecté vers d’autres écoles du département, et le personnel de l’école dans des établissements de la ville. Quant aux élèves, ils seront répartis entre les écoles Guynemer, Rouget de Lisle et Jean de La Fontaine.
La fermeture de l’école André Malraux pourrait avoir de lourdes conséquences sur la modernisation du quartier Diderot, rebaptisé dans le cadre de l’opération Seine-Europe. Dans ce jeu de chaises musicales, le département, qui projette de reconstruire le collège des Renardières (600 élèves) à l’emplacement de l’école André Malraux, pourrait revoir sa copie en rénovant son bâtiment. En cas de rénovation du collège, la nouvelle école européenne (1 200 élèves), qui devait s’installer sur ce terrain, devra trouver un nouveau point de chute. Le gymnase des Renardières, accolé au collège, pourrait donc être conservé et rénové, marquant l’abandon de son déplacement sur l’avenue du Général Audran. La tour, prévue à cet emplacement et dont l’usage n’a pas encore été révélé, serait alors abandonnée. Parallèlement, le projet immobilier Odyssée est pour l’heure figé en raison du contexte économique morose.
La Défense poursuit sa métamorphose. L’établissement public Paris La Défense a lancé une procédure avec négociation – accord cadre pour le secteur Diderot-Audran à Courbevoie. Ce marché, un accord-cadre mono-attributaire de maîtrise d’œuvre des espaces publics porte sur ce secteur situé en lisière du quartier d’affaires de La Défense, pour les huit prochaines années.
L’objectif de l’aménageur est d’accompagner d’une part le nouveau projet immobilier Odyssey dont les travaux pourraient débuter dès cette année mais aussi celui de nouveaux équipements scolaires et sportifs. Le département des Hauts-Seine souhaite en effet remplacer son actuel collège des Renardières par un nouveau bâtiment plus moderne tandis que la ville de Courbevoie ambitionne d’ériger un nouveau gymnase et une nouvelle école élémentaire, en lieu et place des actuels édifices de l’école André Malraux.
« L’accueil d’une école européenne sur la commune de Courbevoie, et plus particulièrement dans le quartier Diderot-Audran, et la reconfiguration des équipements scolaires actuels (gymnase, école maternelle, école primaire) vont participer à la transformation urbaine du secteur et à la requalification des espaces publics », indique l’aménageur dans son dossier de consultation.
« D’autres immeubles du secteur seront probablement amenés à muter dans les années à venir », explique Paris La Défense qui cependant dit ne pas les connaitre « à ce stade ». « La mise en œuvre de ces projets entraînera des modifications et la requalification de l’espace public », prévient Paris La Défense.
Pour ce vaste projet à venir Paris La Défense prendra en charge comme à son habitude la conception et la réalisation des espaces publics d’accompagnement de ces équipements scolaires sur son domaine public ou, le cas échéant, via des délégations de maitrise d’ouvrage « à conclure ».
Tous ces nouveaux projets viendront s’insérer autour du parc Diderot. « Sur ce secteur, le parc Diderot est une identité paysagère forte du quartier sur laquelle le projet urbain devra s’appuyer. L’accès au parc est difficilement lisible depuis le quartier d’affaires alors qu’il constitue un véritable atout pour La Défense », estime Paris La Défense pour qui « l’enjeu est d’insérer le parc dans son environnement proche, de l’étendre pour accueillir des nouveaux usages et améliorer sa visibilité et de le relier à l’axe et à la Seine pour améliorer les continuités fonctionnelles et écologiques, et également offrir des vues sur la Seine ».
« Les missions confiées au titulaire pourront porter sur les espaces publics, majoritairement en surface, certains ouvrages, mais aussi sur des espaces sur ou sous dalle », précise l’établissement public. Le titulaire du marché devra ainsi assurer les missions de maîtrise d’œuvre pour la requalification d’espaces publics par Paris La Défense comprenant entre autres des travaux de VRD et d’aménagement paysager, de génie civil et d’ouvrage d’art (hors études et suivi des travaux pour une éventuelle reconfiguration d’ouvrage d’art type passerelle) et de libération d’emprise. Mais aussi des missions de maîtrise d’œuvre « AVP / PRO / DCE / ACT / VISA / DET / AOR » ainsi que la production de dossiers administratifs, l’assistance à la concertation et à la communication ou encore la gestion des interfaces et coordination technique avec les tiers.
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