S’étendant sur un peu plus de 700 mètres (de la tour Saint-Gobain à l’angle de rue l’angle de la rue Henri Regnault), cette partie de la piste cyclable utilise l’une des trois voies de cet axe routier entourant le cœur historique du quartier d’affaires. Implantée à la hâte au printemps 2020, à la sortie du premier confinement, cette coronapiste était jusqu’alors protégée par de gros blocs en béton peu esthétiques.
Désormais, cette portion de la piste cyclable est protégée du flot de véhicules par une petite bordure en béton. L’aménagement n’est cependant pas des plus parfaits. De nouveaux feux de circulation ont été installés sur des plots en béton, avec des câbles aériens pendouillant pour les alimenter, tandis que d’autres ont été condamnés avec des morceaux de scotch.
La transformation du quartier Diderot en un nouveau quartier « Seine-Europe » prend du plomb dans l’aile. La mutation de ce secteur aménagé dans les années 80, jouxtant le quartier d’affaires de La Défense, pourrait bien ne pas voir le jour, du moins sous la forme promise par l’aménageur Paris La Défense, le département des Hauts-de-Seine et la ville de Courbevoie.
Le département des Hauts-de-Seine, qui ambitionne de construire la nouvelle école européenne (1 200 élèves) à l’emplacement du collège des Renardières (600 élèves), lui-même déplacé sur le site de l’école André Malraux, remet désormais en question tout son projet.
Interrogé par Le Parisien, Georges Siffredi, le président du département, indique que de nouvelles études ont été lancées en urgence pour définir un projet alternatif. Car le temps presse. Le montage du collège temporaire aménagé sur l’avenue Gambetta, le temps des travaux, devrait débuter dans les prochains mois. « Non seulement nous réfléchissons à revoir le dimensionnement de l’École européenne, en passant de 1 200 à 800 élèves, avec la possibilité de changer l’emplacement du bâtiment, mais la question se pose également pour le collège actuel, avec une réhabilitation simple qui aurait un coût moindre qu’une démolition-reconstruction », a-t-il assuré au Parisien.
Le remaniement du projet permettrait au département de réaliser des économies. Quoi que… Le projet actuel, comprenant la nouvelle école européenne et le collège des Renardières, est chiffré à environ 90 millions d’euros. Un coût pris en charge à 100 % pour le collège et à 60 % pour l’école européenne, le reste étant financé par la région Île-de-France.
Car il faut le dire, le contexte économique n’est plus trop favorable pour le département. Et la promesse de voir affluer des milliers de Brexiters dans la capitale française n’a pas été à la hauteur des espérances, ce qui justifie la diminution de la capacité de l’école européenne. « Nous travaillons évidemment avec l’Éducation nationale sur la pertinence des effectifs de l’École européenne, dans la mesure où ceux qui prévoyaient de déménager après le Brexit ne sont finalement pas tous venus », a confié Georges Siffredi au Parisien.
Mais le renoncement à la forme actuelle du projet aurait des conséquences financières pour le département. Car avant l’annonce surprise de Courbevoie de fermer son école André Malraux, le département avait attribué début septembre ce marché à un groupement réunissant le géant du BTP Bouygues et les agences d’architecture Archi5 et Henning Larsen.
Pour se défaire de ce marché, le département devra passer à la caisse. En plus des 2,7 millions d’euros déjà injectés pour les études, le département devra dédommager le groupement à hauteur de 5 millions d’euros en cas d’abandon du projet sous sa forme initiale.
Et ce n’est pas tout. Dans ce jeu de chaises musicales, la reconstruction du collège des Renardières et le déplacement du gymnase accolé rue du Général-Audran devait libérer une emprise pour ériger une nouvelle tour, dont l’usage n’a pas encore été défini. Ce gratte-ciel « Alsace » pourrait donc ne pas voir le jour…
Nommé il y a un mois secrétaire d’État chargé de la Citoyenneté et de la Lutte contre les discriminations, Othman Nasrou s’est rendu à Nanterre vendredi dernier pour visiter les locaux de Pharos, le service de l’Office anti-cybercriminalité (OFAC), une branche de la direction centrale de la Police Judiciaire (PJ).
Lancé en 2009, les enquêteurs de Pharos sont chargés de recueillir, traiter et enquêter sur les signalements d’internautes concernant des propos, photos et vidéos haineux, faisant l’apologie du terrorisme, de pédocriminalité ou encore sur les nombreuses arnaques du net. Réunissant quarante-cinq fonctionnaires de police (dont cinq gendarmes), Pharos est actif 24h/24, tous les jours. « L’année dernière, nous avons reçu 211 000 signalements », précise Nicolas Guidoux, le chef de l’OFAC.
« Ce sont des sujets extrêmement importants et préoccupants. Malheureusement, le nombre de signalements ne cesse d’augmenter », estime Othman Nasrou, qui a salué le travail « extrêmement important » de Pharos sur des réseaux sociaux « devenus un terrain de défouloir de la haine et de la violence ». Avant de prévenir: « Il n’y a pas d’impunité, certaines expressions ne sont pas des opinions ».
Un retour à domicile réussi pour les Ciel et Blanc. Après avoir quitté la Paris La Défense Arena en mars dernier pour laisser place à une série de concerts, dont ceux de Taylor Swift, et surtout aux Jeux Olympiques et Paralympiques, les Ciel et Blanc ont retrouvé la plus grande salle de spectacle d’Europe, où les anneaux olympiques sont toujours visibles. Initialement exposés sur la façade aux écailles de verre, les anneaux accueillent désormais les spectateurs à l’entrée de l’enceinte.
Sur une pelouse synthétique entièrement renouvelée, les Racingmen l’ont emporté 30 à 23 face à l’USA Perpignan ce samedi, lors de cette rencontre de Top 14 comptant pour la huitième journée.
Dominants en première mi-temps, les franciliens se sont laissé surprendre par les perpignanais au retour des vestiaires. Le Racing 92 a inscrit trois essais (O. Farrell 6’, N. Le Garrec 17’, H. Dayimani 24’), tous transformés (N. Le Garrec 7’, 17’, 25’) ainsi que trois pénalités (N. Le Garrec 3’, 50’, 80’). De son côté, Perpignan a marqué deux essais (V. Montgaillard 37’, J. Barraque 63’), transformés (T. Allan 38’, 64’), ainsi que trois pénalités (A. Aucagne 12’, 68’, 78’).
Ce retour du Racing 92 à la Paris La Défense Arena est pour l’instant temporaire. L’équipe jouera ses deux prochaines rencontres -contre Toulouse en Top 14, puis face aux Harlequins en Champions Cup- au stade Dominique-Duvauchelle de Créteil.
Cible régulière de diverses manifestations, le siège de TotalEnergies à La Défense a été la proie d’une nouvelle action coup de poing d’Extinction Rebellion. Plusieurs activistes de l’association écologique ont déployé ce vendredi matin une banderole avec le message « Nos vies valent plus que vos profits ».
Mais les activistes écologistes ne se sont pas arrêtés là. Les portes d’entrée de la multinationale ont été aspergées de peinture rouge. Deux militantes ont même brisé plusieurs vitres de l’immeuble avec des marteaux tout en collant des affichettes où l’on pouvait lire « En cas de crise sociale, briser la glace contre les criminels climatiques ». Ces deux dernières ont été interpellés par des policiers.
TotalEnergies a déposé plainte pour ces dégradations, estimées à plusieurs dizaines de milliers d’euros, a indiqué la préfecture de police de Paris.
Le Supercross de Paris est un événement impressionnant mêlant plusieurs disciplines de moto, dont le SX1, le SX2 et le Freestyle. Sur un circuit intérieur spécialement conçu pour l’occasion, les pilotes s’affrontent dans des courses rythmées de sauts et de virages à grande vitesse. La compétition s’étend sur deux jours, avec des qualifications le premier jour et les finales le lendemain. Le Supercross de Paris est organisé dans la capitale française depuis 1984 et à la Paris La Défense Arena depuis 2017.
Les derniers billets disponibles sont à acquérir entre 48 euros et 110 euros selon les catégories et emplacements. Pour réserver vos places, c’est ici.
Le Pôle Léonard de Vinci a annoncé être entré dans un processus de transformation en société à mission. Ce statut juridique, introduit par la loi Pacte en 2019, permet aux entreprises et associations de se doter d’une raison d’être en intégrant des objectifs sociétaux et environnementaux.
Dans ce cadre, le Pôle fait évoluer sa structure organisationnelle en unifiant les activités d’enseignement et de recherche des trois écoles ainsi que la formation continue (ESILV, EMLV, IIM et De Vinci Executive Education) dans une seule et même entité juridique. L’objectif de cette transformation est de permettre à chacun des quatre établissements du Pôle de contribuer aux ambitions communes de la société à mission.
« Notre projet de transformation du Pôle en société à mission répond aux nouvelles attentes vis-à-vis des établissements de l’enseignement supérieur. Les nouveaux objectifs et enjeux de la société sont désormais une boussole qui guide et donne du sens à toutes les décisions et actions prises par notre établissement », confie Nicolas Glady, Directeur Général du Pôle Léonard de Vinci.
Ce groupe d’établissements d’enseignement supérieur et de recherche se donne pour but d’étudier et de se préparer à « la complexité d’un monde en mutation, grâce à son approche interdisciplinaire associant expertises scientifiques, technologiques, créatives et humaines ».
Les quatre établissements du Pôle Léonard de Vinci (@ESILVparis , @EMLVparis , @IIMparis et @DevinciExec) sont entrés dans un processus de transformation en société à mission.
Avec ce changement, le Pôle se fixe quatre objectifs décrits comme « essentiels » : le « partage d’enseignements de qualité, adaptés aux enjeux sociétaux et environnementaux, dans une logique de formation tout au long de la vie », le « renforcement continu des expertises du Pôle pour créer et diffuser des connaissances », « l’excellence des recrutements et des activités, enrichie par la diversité », et « la culture de la transversalité et l’ouverture interculturelle ».
Par ailleurs, depuis le 1er octobre, le Pôle Léonard de Vinci s’est adossé au groupe AD Education. Créé en 2009, le leader européen de l’enseignement supérieur privé spécialisé dans les domaines créatifs opère notamment sous des marques réputées : École de Condé, CV, ESP, ESD, EAC, Institut National de Gemmologie, École Supérieure du Parfum… « Dotée d’une solide expérience internationale mêlant entreprise et enseignement supérieur, l’équipe dirigeante d’AD Education a aujourd’hui à cœur de poursuivre et d’encourager l’excellence dans l’ensemble de ses formations », indique le Pôle dans son communiqué.
« Cet adossement constitue une formidable opportunité pour les étudiants de nos écoles par la complémentarité des offres et de nos expertises autour d’un triptyque management-ingénierie-création. Les perspectives internationales avec les neuf pays européens donnent les moyens d’une proposition de valeur unique pour nos étudiants », commente Martin Coriat, Directeur Général du Groupe AD Education.
La ville a opté pour transformer ce lieu minéral en un espace végétal. D’une surface de 1 160 mètres carrés, ce square baptisé « Place des Trois Frères Enghels », bordé de végétaux, s’ouvrira aux passants avec trois entrées. « La place du végétal sera au cœur de l’identité du square, créant un véritable îlot de fraîcheur généreusement planté », indique Terabilis & Développement, le concepteur de ce nouvel écrin de verdure.
Plusieurs zones de repos seront proposées, ainsi qu’une aire de jeux pour les plus jeunes. Inspirée de thèmes « ludiques et naturels », l’aire inclura un « volcan en éruption », conçu pour permettre aux enfants « de s’évader dans leur imagination tout en favorisant leur développement physique et récréatif ».
Des panneaux informatifs et des installations comme des nichoirs ou des abris pour insectes sensibiliseront le public à l’écologie locale, transformant cet espace en un îlot de verdure et de biodiversité.
« Le projet d’aménagement du square Place des Trois Frères Enghels représente une réponse concrète aux aspirations de la population de Courbevoie pour davantage d’espaces verts et de lieux de rencontre », précise Terabilis & Développement.
Lancés il y a quelques semaines, les travaux, chiffrés à 800 000 euros, doivent s’achever en avril 2025.
Les fans français de Lenny Kravitz auront le choix parmi plusieurs dates. La superstar américaine a annoncé sa nouvelle tournée « Electric Light Tour » avec sept concerts programmés en 2025 en France, dont une date dans la plus grande salle de spectacle d’Europe.
Le rockeur de soixante ans passera par la LDLC Arena de Lyon (22 février), le Zénith de Nantes (24 février), le Galaxie d’Amnéville (1er mars), le Dôme de Marseille (3 mars), le Palais Nikaïa de Nice (4 avril), l’Arkea Arena de Bordeaux (14 avril) et surtout à la Paris La Défense Arena le 29 mars 2025. La première partie de cette tournée sera assurée par l’ancien leader de The Verve, l’Anglais Richard Ashcroft.
Tout au long de sa carrière, débutée à la toute fin des années 80, Lenny Kravitz a marqué la scène rock. La star mélange des influences de rock, funk, soul, reggae et blues, souvent inspirées des années 60 et 70. Si son premier album, « Let Love Rule » (1989), l’a fait connaître, c’est avec « Are You Gonna Go My Way » (1993) qu’il a véritablement explosé mondialement, atteignant la certification multi-platine et consolidant sa place parmi les artistes les plus influents du rock.
Lenny Kravitz a écoulé plus de 40 millions d’albums dans le monde entier. Son album « Greatest Hits » (2000) est l’un de ses plus grands succès commerciaux, ayant atteint plusieurs millions d’exemplaires vendus.
Durant sa carrière de trente-cinq ans, Lenny Kravitz a remporté plusieurs Grammy Awards, notamment pour la meilleure performance rock masculine. En plus de sa carrière musicale, il est aussi acteur, ayant joué dans des films comme « Hunger Games ».
Originaire de New York, Lenny Kravitz a toujours été très proche de son public français. Depuis 1999 et sa collaboration avec Gérard Drouot Productions, le chanteur a mené de nombreuses tournées dans les quatre coins de la France. Son dernier passage dans l’Hexagone remonte à cette année avec des shows dans cinq festivals.
Les places pour cette tournée, dont le concert à la Paris La Défense Arena, seront en prévente dès ce mardi 22 octobre à 10 heures sur gdp.fr. La mise en vente générale aura lieu le 23 octobre 2024, également à 10 heures, sur les points de vente habituels, dont le site de Paris La Défense Arena. Les billets sont vendus entre 63 euros et 195 euros.
Une carte gourmande. Hippopotamus, qui dispose d’un restaurant à La Défense, au sein du Westfield Les 4 Temps, a dévoilé le 17 octobre dernier sa carte automne-hiver. Pour cette période hivernale, la chaîne française de restaurants à viande affirme « innover » avec sa « Fondue Steakhouse », un mélange entre les fondues bourguignonne et savoyarde.
L’autre nouveauté de cette carte est l’apparition de la catégorie des « Cocottes ». Trois déclinaisons sont proposées : un bœuf bourguignon, un confit de canard, et un houmous avec des légumes grillés. « Cette dernière recette s’adresse aussi bien aux végétariens qu’aux flexitariens et représente une alternative pour les consommateurs en quête d’un plat complet, généreux et réconfortant sans viande », assure Hippopotamus dans un communiqué.
Pour cette saison automne-hiver, une toute nouvelle « pièce d’exception » rejoint la carte : l’Aiguillette Baronne Black Angus US. Cette viande, décrite comme « tendre et savoureuse », promet aux gourmands une expérience « gustative unique pour les fins connaisseurs ».
« Cette nouvelle carte permet également de poursuivre l’engagement en faveur de la filière française avec ses incontournables pièces de bœuf 100 % françaises, toujours soigneusement sélectionnées et sublimées par la cuisson à la braise », affirme Hippopotamus. Enfin, côté desserts, on retrouve un tiramisù, une pavlova aux marrons et une coupe Belle Hélène.
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