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vendredi 27 décembre 2024
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Avec sa course Vertigo, Play International récolte 148 000 euros

L’ONG a récolté pour la septième édition de sa course Vertigo 148 000 euros. Ces fonds serviront à Play International pour ses différents programmes d’insertion par le sport.

L’ascension était une nouvelle fois intense. Pour la septième édition de sa course Vertigo qui s’est déroulée ce jeudi 16 mai à la tour First, l’association Play International indique avoir récolté 148 000 euros. En solo ou en relai à quatre, entre amis, proches ou collègues, ils étaient cette année 1 150 grimpeurs à relever le défi de gravir les 954 marches jusqu’au sommet du gratte-ciel le plus haut de France.

Une performance sportive mais surtout solidaire

« Depuis le début de l’aventure nous avons récolté plus d’un million d’euros. L’intégralité du coût des inscriptions est reversé à Play International », explique Antoine Biard, l’organisateur de la course. Les fonds collectés cette année serviront pour les différents programmes d’insertion par le sport de l’ONG au Kosovo, au Burundi mais aussi en France à Mayotte. « On intervient sur des politiques de discrimination afin de permettre à des jeunes d’intégrer les relations garçon-fille dans l’univers sport », souligne Antoine Biard.

« C’était dur, c’était très dur mais c’était sympa »

« C’était sympa, festif et sportif », lâche Henry, quelques minutes après avoir avalé les 48 étages de la tour. Ce salarié d’EY qui travaille dans la tour n’est pas parti seul et s’était entouré de deux collègues. « C’était un peu dur sur la fin », note Cyril. « On s’est entrainé modérément, de temps en temps ; on s’entrainait sans trop y penser en prenant les escaliers », ajoute Antoine. « C’était dur, c’était très dur mais c’était sympa. Arrivée au cinquième étage j’avais déjà du mal, s’amuse pour sa part Camille, salariée d’Engie, qui a elle opté pour la course en relais avec douze étages à gravir. Au début j’ai commencé à monter les marches une par une mais après j’entendais mes collègues qui râlaient car je n’allais pas assez vite, donc ça m’a motivée pour continuer ».

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